¡¡¡Chaaaaaa!!!

14 novembre 2007

OUI OUI OUI ET ENCORE OUI

...à la grêve de manière générale et inconditionnelle contre le gouvernement de Sarkozy
...à tous les mouvements de résistance contre un gouvernement de droite de plus en plus décomplexé, hargneuX et indifférent aux opinions contraires
...à chaque individu, travailleur, syndiqué, prof, étudiant, cheminot, avocat, chômeur, bref à tout un chacun qui croie profondément qu'avec NOTRE président que NOUS avons élu (oui oui on est en démocratie rappellez-vous) on court à notre perte, et plus vite que l'on ne pense.

Haut et fort, je crie :


Je soutiens la grève


Recommandé par des Influenceurs


Et je ne soutiens pas seulement la grêve, mais aussi les occupations de fac, les manifs, et mille une et autre façon de crier haut et fort qu'il existe beaucoup de gens contre la politique du gouvernement, contre le néolibéralisme de manière générale, des personnes qui savent ce que c'est la démocratie, oui merci, une majorité des français a voté pour Sarko, certes. Mais en démocratie la minorité, que j'espère être de plus en plus nombreuse et forte, peut parfaitement s'exprimer, et le mode d'expression et d'appel aux dirigeants le plus efficace reste à ce jour la grêve et les blocages qui peuvent déranger certes, mais qui restent les plus efficaces pour lutter pour la sauvegarde de nos acquis sociaux.

Et là j'ai une ptite nostalgie de ne pas être en France...

Courage à tous et n'oublions pas...

SEULE LA LUTTE PAIE!!!

01 novembre 2007

Mon labo photo!!!






En ce jour de tous les saints, en tout cas de tous les morts, j'ai l'honneur et le plaisir de vous annoncer la naissance de mon laboratoire photographique, noir et blanc, argentique, à l'ancienne, avec la lumière rouge et l'odeur à produits chimiques qui fait mal à la tête et voui.
Je suis plus que très contente étant donné que depuis que j'ai commencé à m'intéresser à la photo et au processus chimique j'ai toujours développé mes photos dans des agences, clubs, potes, et certes une fois chez moi, à Valpo mais pas pour longtemps et dans des conditions plus que précaires. Bref, ceci est donc une nouveauté pour moi et un immense plaisir. En effet le processus photographique, je dirais même le chemin pour arriver à réaliser, à créer une image photographique passe indispensablement par l'étape du développement maison. Lorsqu'on fait tout le processus soi même on a alors vraiment la sensation d'être photographe, créateur, on apprend beaucoup plus sur la lumière, on apprend la patience aussi, la concentration, le perfectionnement, étant donné qu'à la moindre petite erreur -filtration minime de lumière, sur ou sous exposition, papier de mauvaise qualité etc-tout est foutu...A ça, rien à voir avec la rapidité, et je dois avouer, la facilité confortable du numérique! Enfin comme l'inconvéniant c'est que je ne pourrais pas vous montrer sur ce blog les images que je développe dans ma petite chambre noire, je continuerai tout de même avec mon petit numérique, que j'adore par ailleurs!
Voilà quelques petites photos du labo nouveau né, si vous êtes dans le coin, bienvenus pour développer vos photos!!!

11 octobre 2007

Le désengagement

Réaction au post de l’excellent CSP (mon pote Thierry pour ceux qui le connaissent) http://comite-de-salut-public.blogspot.com/2007/10/le-dsengagement.html j’incite tout le monde à cette saine lecture.



"J'ai le sentiment que le "désengagement" (appelons le comme ça pour le moment) n'est pas lié à une situation de croissance (encore que c'est spécifique aux pays riches)"


Il y a en effet un rapport entre le désintérêt voir le mépris de beaucoup de personnes envers l'engagement politique (je m'attacherai plus particulièrement à cela même si je suis d'accord sur ton analyse par rapport aux relations amoureuses) et une situation de croissance économique de type capitaliste. Cependant c'est assez paradoxal étant donné par exemple que la chose politique est traitée de manière bien différente dans les pays dits "pauvres" (pas de tradition syndicale, de manifs, de groupes de pensées en Afrique par exemple), et ce parce que pour pouvoir protester, il faut encore avoir satisfait ses besoins vitaux, comme par exemple se nourrir et nourrir sa famille. Loin de moi l'idée de dire qu'en Afrique (par exemple) il n'y a pas de mouvements politiques ni de personnes engagées, ni de soulèvements, ce serait absurde et faux. Ce que j'essaie de dire c'est qu'on ne peut pas parler dans ce cas de désengagement, parce que les conditions nécessaires à l'engagement de la société ne se sont pas données de la même façon que dans les pays occidentalisés.
D'où le problème à l'heure de trouver des liens de cause à effet entre désengagement/croissance économique des pays "riches".

De plus, ce flou analytique persiste lorsque l'on se penche sur la situation de pays qui sont dans le vague entre ce fameux "développement" à atteindre, et des traces encore persistantes de "sous développement" (je met des parenthèses car ces thèmes sont décidemment très connotés FMI, BM, et ne permettent pas toujours d'avoir une vision juste des choses); je veux parler ici des pays d'Amérique Latine, et je prendrais le cas du Chili car c'est celui que je connais le mieux. il suffit de peu de discussion avec des jeunes, en prenant un groupe d'âge assez varié (15-30) et de statuts sociaux très différents, pour se rendre compte que l' engagement politique n'est généralement pas une préoccupation majeure dans leur vie quotidienne. Et là l'analyse devient encore plus compliquée: parce qu'on est dans un pays qui est encore en voie de "développement", avec des inégalités frappantes, visibles à chaque moment, parce que le Chili est un pays (re) devenu démocratique seulement depuis 18 ans (donc la majorité de la population a vécu en dictature, et beaucoup de jeunes l’ont aussi connu), et parce que les problèmes d’ordre sociaux et politiques sont criants dans cette société ultra libérale qui a finalement peu évoluée depuis la fin du règne de Pinochet.
L’engagement politique chez les jeunes ici n’est pourtant pas fort, alors qu’il y a évidemment d’excellents motifs pour qu’il le soit. Beaucoup d’entre eux voient cela comme un rappel des années les plus sombres du Chili dont finalement ils ne se sentent que peu partie. Ils sont à la fois tiraillés par un furieux besoin de se dessiner leur propre destin, chilien, une identité propre, et l’envie de copier sur l’Europe, sur les Etats-Unis, bref sur des modèles de croissance pré établis. Cela donne une jeunesse qui semble perdue à bien des égards- selon moi cela est du au fait que le Chili n’a jamais vraiment fait un travail de mémoire sur la dictature, preuve en est la mort en toute impunité de Pinochet- et qui quand elle lutte le fait de façon marginale ou peu constructive.
En effet, en juin 2006, alors que la présidente Michelle Bachelet venait juste d’être élue, les collégiens/lycéens ont provoqué un mouvement d’une grande ampleur appelé « la révolution des pingouins » (du fait de leur uniforme) pour protester contre une loi, datant de la dictature et toujours en vigueur qui fait de l’éducation clairement une marchandise comme une autre). Certes les manifs sont ici très régulières (et violemment réprimées), mais de manière générale il n’y a pas de construction d’un mouvement social global et de longue durée qui serait alors constructif et décisif dans le changement de société. Il y a des soubresauts, des ondes de révoltes, mais en effet pas d’engagement profond, et cela se passe aussi dans de nombreux pays d’Amérique du Sud, comme l’ont démontré par exemple les révoltes argentines de 2001. Ainsi, les gens ne sont pas dépolitisés, mais plutôt souffrent d’une perte de foi en une action longue, compliquée, risquée et dont les effets ne se verront peut être pas avant la génération de leur petits enfants…Mais je crois alors que ce symptôme existe alors presque depuis toujours, où une minorité finalement s’engage pour une majorité.
Que ce soit en France ou ailleurs les révoltes, les constructions politiques (ce qui demande un engagement de chaque instant) sont le fruit intellectuel de quelques grands hommes et femmes, dont les masses ne sont finalement que des instruments. Et il me semble qu’est arrivé le moment de changer ce shéma.
Pour moi, une possibilité, voir un espoir de l’engagement de chacun, de façon durable et concrète est l’expérience à niveau local comme il peut y avoir au Venezuela avec les cercles bolivariens, comme il y a à Porto Alegre avec le budget participatif, comme il y a au Chili dans les Juntas de Vecinos ou les Comités des bidonvilles, ainsi que dans les favelas du Brésil, les communautés indigènes zapatiste ou mapuches. Là il y a engagement quotidien, durable et efficace, agir au niveau local pour toucher le global. C’est certes plus compliqué à mettre en place en France où les liens sociaux communautaires sont pratiquement inexistants mais qui aspirent à revivre. J’espère.

10 septembre 2007


Comme je vois que les réactions se font rares sur mon message précédent, et oui le public est capricieux, un jour il encense, l'autre il dénigre, je vous donne de la littérature bien plus digeste sur les us et coutumes du pays où je vis, la Tanzanie vous l'aurez tous compris.

Le mois de septembre est le mois le plus important de l'année. Plus que Noël, plus que le nouvel an...C'est le mois du 18, comme on dit, c'est à dire que le 18 septembre c'est la célébration de l'Indépendance. Cette année nous avons droit à 6 jours de vacances pour faire la fête, manger de la viande grillée, boire du pisco et de la chicha, danser sur de la cumbia et de la cueca et jouer au verf volant. Plus chilien tu meurs!
Voilà déjà une ptite photo et plus de détails au prochain épisode!!!

06 septembre 2007

Encuentros y desencuentros


Prendre l'avion est généralement un grand moment de solitude. Mais pas cette solitude qui serre le coeur, angoisse, et fait prendre conscience de l'absurdité de notre petite vie. C'est plutôt une solitude bienveillante, qui te protège, t'enveloppe dans un cocon le temps d'un voyage dans le ciel.
Le moment de l'escale est cruciale. C'est à ce moment que l'on peut choisir de rompre cette solitude,qui peut peser chez certaines personnes, ou bien de la conserver, ne jetant que de brefs regards à ses compagnons de voyage.

Généralement je ne choisis pas.
La première fois que je suis partie au Chili, cela fait maintenant déjà 4 ans, je n'avais vraiment pas envie de parler avec quelqu'un.Je venais de prendre conscience à l'aéroport d'Orly que je venais de laisser ma famille, mes amis, mon copain pour aller dans un pays lointain, où je ne connaissais personne, et accessoirement où je ne comprenais pas la langue...Moment de solitude intense à l'aéroport de Madrid, larmes, visage rouge et bouffi. Une française, qui attendait à côté de moi, me demande oú je vais, Valparaiso, Chili. "Tu vas voir le Chili c'est génial, moi ça fait déjà trois fois que j'y vais pour le boulot, c'est superbe". Je dis oui oui, mais j'y crois pas. Bien que ma solitude me ronge alors qu'elle ne fait que commencer je préfères y retourner. Evidemment on connait les évènements qui en suivent, mon amour pour valparaíso, mon désir de revenir au Chili, etc, etc.
La fourbe: elle avait raison.

Bref. Solitude choisie, ou non, tel est le lot des aéroports.
Je repars donc au Chili une seconde fois en septembre 2006. A Barcelone je vois un ami chilien, rencontré à Toulouse, réalisateur, Matías. Au cours d'une fête j'arrive à comprendre qu'il prend le même vol que moi à Madrid! Génial on fera le voyage ensemble. Arrive le jour fatidique et je ne le vois pas... Pas grave, j'apprécie maintenant la solitude des aéroports, et surtout les quelques heures d'escale ont été agrémenté par la compagnie de Javi, un copain espagnol qui est venu me voir.
Août 2007. troisième voyage au dessus de l'Atlantique. Toujours cette même escale à Madrid Barajas. Dans l'avion Paris-Madrid je suis assise à côté d'une française, qui me semble très jeune et qui va à Santiago comme je peux voir sur son billet. Oui je suis une fouine parfois.Non. Toujours en fait. Je lui invente évidemment une histoire, un destin. Je m'amuse toujours beaucoup toute seule. Cette fille sera donc étudiante à Sciences Po Paris, en 3ème année, et elle va faire un stage à l'ambassade de Santiago ou à la fac de Valpo peut-être. Elle est jeune, c'est son premier long voyage, elle a un peu peur mais elle a tout organisé. Elle essaie de se rassurer. Elle part pour perfectionner son espagnol. Quelle déception lorsqu'elle s'apercevra que le chilien est une langue à part, bien lointain du castillan policé de nos voisins...Mais elle aprendra pleins d'autres choses et reviendra en France, contente d'avoir vécu cette expérience, et heureuse aussi de revenir à la civilisation française. Bref j'en étais là de mes élucubrations sur cette fille assise à côté de moi. Arrivée à Madrid. Changement de terminal. La fille en question me paraît un peu préoccupée, regarde bien l'écran pour s'assurer de la porte d'embarquement. Moi je la suis. C'est con mais j'ai envie de lui demander pourquoi elle a choisi le Chili, si elle n'a as peur de se sentir un peu seule là bas. Peut être lui donner quelques tuyaux si elle est sympa...Mais je ne le fais pas. Je la suis, je la dépasse, ah ah ah j'ai gagné je vais arriver avant elle, j'aime bien jouer toute seule, qu'est ce qu'on s'amuse. Arrivée devant la porte d'embarquement, je l'oublie un peu. C'est la porte d'entrée au Chili. Il y a pleins de chiliens. Chouette. Je suis presque arrivée: plus qu'un océan à traverser et 14 heures de voyage en altitude.
C'est le bordel. Ça aussi une preuve de plus de l'imminence de mon arrivée au Chili. Les gens s'agitent, parlent fort, demandent à chaque instant des renseignements au personnel. Moi je m'approche, j'observe. On appelle certains passagers au micro. J'écoute au cas oú l'on prononcerait "Tcharrrlot Matibette". Mais non, j'entends "Matías Bize". Mon pote, avec qui je devais prendre l'avion un an plus tôt et que je n'avais pas vu! Cette fois il est bien là, il arrive essouflé et je vais le voir. Embrassades, nouvelles, puis il doit résoudre ses problèmes au comptoir. Je rigole de cette rencontre, de ce hasard, qui me projette un an en arrière.
Il est l'heure désormais d'embarquer, je me déplace lentement jusqu'à ma place, et presque habituée par les jeux du hasard je me place à côté de la fameuse fille. Là j'ai plus le choix, je vais bien trouver un moyen de lui parler et de lui faire dire que oui elle va à Santiago ou Valpo à la fac, que c'est son premier grand voyage et qu'elle est un peu stressée. Mais elle est plongée dans son livre et n'a apparemment nullement l'intention de le laisser avant de l'avoir terminer. Cela m'intrigue un peu plus, je me dis que je devrais revenir un peu sur mes théories, elle n'a pas l'air aussi stressée que ça par ce voyage...Ce livre a vraimentl'air passionant, elle le dévore. Je le lis alors par dessus son épaule. Je sais c'est mal poli et ma maman m'a toujours dit de ne pas le faire, mais bon moi j'aime bien. Elle termine son livre...Et là trou noir, je ne me souviens plus comment on s'est adressé la parole, peut être que je lui ai dit que j'allais la déranger toute la nuit parce que je ne lève souvent pour aller faire pipi, marcher(comme me l'a ordonné ma maman), et voler des sandwichs(comme me l'a conseillé mon frère). Et voilà c'est bon la conversation est amorcée, et la vérité s'ouvre devant mes yeux ébaïs. Elle ne va pas au Chili. Elle y fait juste escale pour se rendre à Buenos Aires. Bon, je me suis certes trompée sur la destination, mais peut être pas sur ses occupations. Elle habite à Buenos Aires depuis 4 ans, elle a souvent fait Paris Bs Aires, elle n'a qu'une envie c'est d'arriver, elle n'aime pas les voyages en avion, elle est journaliste, elle est plus agée que moi, très sympa, rigolote, le livre elle a pas trop aimé mais c'est parfait pour ce long voyage, d'ailleurs elle me l'offre! Bref j'ai un peu échoué sur mon jeu de devinette mais je n'ai pas perdu au change!

Il y a des ordinateurs sur chacun des sièges de devant. Le mien ne marche pas correctement. Ma méthode avec les machines? Taper dessus ne peut pas leur faire de mal. Malgré ma douceur, ma voisine de devant n'a pas l'air d'apprécier le dynamisme dont je fait preuve avec mon ordi... Son mécontentement reste sourd. Je change de siège pour voir un film et la laisse alors en paix.

Echanges de mails avec ma voisine, invitations à Bs Aires, et Santiago, bonne chance etc.
J'arrive à santiago et la suite vous la connaissez.

Hier soir Franco invite à manger un pote à lui et une copine française dont il m'a souvent parlé. Celle-ci arrive avec son copain et une amie, française elle aussi.
On mange, on boit, on parle, blablabl, très sympas et tout. Bon vous vous demandez où je veux en venir? Aurais-je oublier l'intitulé de ce message? Hasard, coincidence, F A T E?
J'aime tenir mon lecteur en haleine.
Et donc dans la conversation, la copine de la copine (je me fais un honneur de respecter le désir de confidentialité de mes protagonistes)me dit qu'elle me connait. Euh ah bon...Oui on a pris l'avion ensemble. J'étais devant toi. je me souviens alors de la personne que j'avais dérangé avec mon énervement technologique. Ah oui ton visage me dit quelque chose!Oui et en plus hier je suis tombé par HASARD sur ton blog. et j'ai donc reconnu la fille qui était derriere moi dans l'avion! Puis ma copine m'invite chez Franco, j'entre dans l'appart qui se trouve à côté de là où je vais déménager (n'oublions pas de préciser que Santiago est immense)et là je te vois, toi la fille de l'avion et la fille du blog, et ma future voisine!!!

Et en plus elle est à Sciences Po Paris, c'est sa première fois au Chili, l'occase de voyager et d'apprendre l'espagnol même si elle se rend compte que el chilien c'est aps apreil...Euh j'ai déjà entendu cette histoire quelque part non???
petite revanche eprsnnelle. je m'étais juste trompée de personne dans mon jeud e devinette :)

Bon on pourait parler longtemps du hasard,le monde est petit, on est peu de choses, ah vraiment c'est fou, le destin (spéciale dédicace à Caro).
Je préfère vous faire une liste des hasards les plus drôles (je passerais sous silence les moins drôles car il y en a aussi.)

Cuzco, Pérou, février 2004 : sur la place d'armes je tombe sur une copine de l'IEP.
Valparaíso, chili, avril 2004. en bas de chez moi je rencontre deux filles de ma promo.
Salvador de Bahia, Brésil, février 2007: en plein milieu du carnaval, des miliers de personnes autour de moi, j'entends "charlotte", me retourne par pure reflexe, et me voilà face à face avec deux potes canadiens connus à Toulouse par Chamette en 2005, et depuis plus de nouvelles.On fait le carnaval ensemble. Et on se reperd après.
Buenos Aires, Argentine, mars 2007. La soeur de Franco nous emmène dans une boîte, un peu underground, à une fête de cumbia electro (imaginez le truc)je rentre et tombe nez à nez avec une fille de l'IEP.
Arcachon,juillet 2007 : arrivée depuis 10 jours en france, je faisais la con avec mapi et cham dans la rue, on zonait, il faisait pas beau, on savait pas quoi foutre on était allé à arcachon, je tombe sur NDP (encore une fois souci de privacité), premier amour, collège, pas vu depuis 10 ans...et j'en rougis !
Je devrais peut être m'habituer à tout ça non?

03 septembre 2007

De retour!!!

Après avoir traversé un océan et être arrivée près d'un autre (océan), me voilà donc (re) installée à santiago. Après quelques jours à crier jior car il faisait un temps superbe et chaud alors que nous sommes en hiver (les commentaires allant de bon train, ah vraiment ya plus d'saison et dire qu'en France il pleut c'est fou tout ça), la semaine s'annonce enfin normale: grisâtre et fraîche. Ben oui on est donc encore en hiver.
Enfin je vais vous éviter plus longtemps ce buletin météo surtout depuis que je sasi que je suis lue! ben voui avant je prenais cette activité blogostique un peu à la légère, certes de temps e temps un commentaire fougeux montrait l'intérêt que certains d'entre vous me portait (merci da Toine) mais bon euh ben voilà je pensais pas autant (et oui au moins 5 potes m'ont dit de me bouger le cul qu'ils en avaient marre que j'écrive rien....si si!!).
Bref pour éviter ce genre de remarques et vous faire partager ma vie de rêve loin de sarko, je vous promet de tenir un peu plus à jour ce petit espace virtuel oú je l'espère nous serons appeler à nous croiser! Et pis pour ceux à qui je edvais passer els photos de cet été oubliez pas d'aller faire un tour sur mon PICASA!

Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiz

10 avril 2007

montevideo

 
Posted by Picasa